Ce week-end et parce que le temps s'y prêtait, à 4, nous sommes partis puiser dans nos réserves les plus profondes, direction les gorges de la Carança.
A l'époque, pendant les vacances, mes parents partaient faire cette randonnée, arnachés comme des boeufs, pendant 3 jours, j'attendait sagement leur retour pour les entendre parler à n'en plus finir de tout ce qu'ils avaient vu et fait.
Samedi, c'est sur leur traces que j'ai marché, marché et marché ;
A flanc de montagne
Et sur des ponts de singes, instables sous les pieds, flippants, vertigineux, idéals pour le dépassement de soi-même.
Et au bout de 4 h 30 de marche, de grimpette, de suée (on en a baver faut le dire), j'ai découvert, le refuge, 1831 m d'altitude.
Il y avait aussi, des vaches, un aigle et l'âne ("petit pois", un habitué des lieux).
Le sieste sous la toile de tente fût fabuleuse, le repas délicieux, le feu de bois réchauffant, la nuit étoilée et le réveil vivifiant.
Quant à la descente, elle fût longue, mais quelle joie tous ces petits bonheurs, enfin partagés...
Commentaires
Coucou
Ca faisait un bail que je n'étais pas venue sur ton blog... Je vois que tout va bien ;-)
Bisous
oh lalala c'est beau.. mais haut.. tout ça .. moi je reviens de vacances, j'ai la nostalgie des cigales , du soleil bleu azur.. j'ai froid sur paris 22° ça caille sec... bonnes vacances ma belle et bisous flo.
je comprend bien le bonheur que cela puisse-t-il être..malgré l'effort!
jtembrasse ma belle...
a bientot